
Tout commence en 2009 au cours de recherches archéologiques conduites dans le cadre d'actions de recherche de la MSHE sur la forêt de Chailluz (action LIEPPEC « lidar pour l'étude des paysages passés en contemporains » puis à partir de 2011 chantier CHEF « construction historique des espaces forestiers » de l'ODIT « observatoire des dynamiques industrielles et territoriales »). Des bornes comportant trois fleurs de lys sur une face sont alors signalées sur la commune de Châtillon-le-Duc. En 2014, la ville de Besançon et l'ONF sollicitent Daniel Daval et Catherine Fruchart, respectivement chercheur associé et doctorante à la MSHE, pour faire l'inventaire des bornes royales, les mesurer, photographier et les enregistrer sur la carte archéologique nationale.